Élections du Bénin le 14 octobre 2021 au Conseil des Droits de l’Homme
Les membres du Conseil sont élus pour un mandat de trois ans et ne seront pas immédiatement rééligibles après deux mandats consécutifs.
Les membres du Conseil sont élus pour un mandat de trois ans et ne seront pas immédiatement rééligibles après deux mandats consécutifs.
Les droits humains sont au cœur des Objectifs de développement durable (ODD) et doivent préoccuper tout le monde. Telle est l’invite de Clément Capo-Chichi, président de la Commission béninoise des droits de l’Homme, à l’occasion de la Journée internationale consacrée à cet effet, ce 10 décembre. Selon lui, l’évolution desdits droits est en demi-teinte au Bénin et pourrait s’améliorer si tous les citoyens en prenaient conscience.
L’engagement des médias en tant que composante de la société civile est fondamental en cette période électorale au Bénin pour faire progresser la responsabilité de protéger.
C’est la journée africaine des droits de l’homme. Une journée célébrée en commémoration de l’entrée en vigueur le 21 octobre 1986, de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Pour le président de la commission béninoise des droits de l’homme, la journée offre l’occasion de consolider les gains réalisés dans le domaine des droits de l’homme et de réitérer l’engagement des Etats à promouvoir et à protéger les droits de l’homme sur le continent. Isidore Clément Capo-Chichi est au micro de Serge Ayaka et Rosemonde Tchiakpe
Célébration Journée Africaine des DH Entretien avec le Président de la CBDH
La vie en milieu carcéral n’est pas souvent évoquée dans les politiques publiques. Plus encore, ces personnes mises en marge de la société suscitent de l’indifférence, voire du mépris. Or, loin d’être un repère pour des citoyens bannis et vidés de leur humanité, la prison permet aux détenus de se préparer, le temps de purger leurs peines, à réintégrer la société pour une vie meilleure.
Demain vendredi 17 juillet, est la Journée dédiée à la Justice internationale par la communauté internationale. Consistant à bannir l’impunité et à surtout sanctionner les abominations et autres crimes contre les droits humains, la justice internationale ne fait pas toujours l’unanimité, au sein des dirigeants africains notamment. Un de ses représentants majeurs au Bénin, Clément Capo-Chichi, ancien directeur exécutif d’Amnesty International Bénin, aujourd’hui coordinateur régional pour l’Afrique de la Coalition pour la Cour pénale internationale (CCPI) et expert du Groupe de travail sur la peine de mort, les exécutions sommaires et extrajudiciaires de la Commission africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) nous en explique les fondements et la pertinence.
A la Commission béninoise des droits de l’Homme, la Journée du 10 décembre dernier a été l’apothéose de la quinzaine des droits de l’Homme. Dans son message publié à l’occasion, Isidore Clément Capo-Chichi, a attiré l’attention sur la responsabilité de chacun et de tous dans la lutte contre les inégalités et la promotion d’une société plus juste au Bénin.
Tous les organes créés en vertu d’instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme (également appelés organes conventionnels) sont composés d’experts indépendants possédant des compétences reconnues dans le domaine des droits de l’homme. Ces personnes sont désignées et élues par les États parties pour des mandats fixes renouvelables de quatre ans. L’élection de la moitié des membres des comités est organisée tous les deux ans, afin de garantir un équilibre entre la continuité et le changement dans la composition de ces comités.
C’est fait ! La commission Béninoise des droits de l’homme ( CBDH ) est accréditée à l’échelle mondiale en matière des droits de l’homme. Avec cette nouvelle notation, le Bénin obtient désormais le statut le plus élevé du Haut-commissariat des Nations-Unies. Cette accréditation au statut A confère au Bénin, la voix délibérative au sein de toutes les instances internationales des droits de l’homme.